Natsuko no sake T.5Les drames s'enchainent dans la petite communauté de Niigata. Un hélicoptère d'épandage aérien se crashe dans un champ. Le père de Saeko renonce et détruit ses plantations, accablé de solitude, il ne peut plus assurer son travail. Natsuko mobilise une fois de plus les habitants pour lui venir en aide et une violente tempête menace les récoltes. Mais Saeko, jadis méprisante du métier d'agricultrice, décide finalement de reprendre la plantation à son compte, alors que Natsuko sauvegarde le Dragon Merveilleux jusqu'au moment tant attendu de la récolte. La plantation est fauchée et le processus de production de sake peut s'enclencher. Le moment le plus important de la création artisanale repose désormais sur les épaules de Kusanabe et Natsuko, pourtant moins expérimentés que leurs aînés. |
| | Natsuko no sake T.4Petit à petit, Natsuko arrive à rallier des producteurs de plus en plus nombreux à son idée d'une agriculture biologique et montre l'exemple en utilisant du fumier naturel comme engrais. Mais elle a bien conscience que la seule motivation de ces derniers à changer repose sur la capacité de vendre le produit bio plus cher que précédemment. Le pari est néanmoins pris d'un sake de qualité et cher contre un saké mauvais et très bon marché. Cette lutte du pot de terre contre le pot de fer est aussi une lutte de méthodes, artisanat contre usinage. Et Natsuko découvre que les méthodes traditionnelles sont un défi physique permanent... qui finit par coûter la santé à son Toji. Entretemps, le fils des Kuroiwa, par amour pour Natsuko, reste déterminé à suivre l'exemple de celle-ci. Et l'affrontement avec son père semble inévitable. |
| | Natsuko no sake T.3Alors que Natsuko a finalement réussi sa première récolte, contre vents et marées, elle prend conscience que la seconde est un défi encore plus grand. Des 12 grains de Dragon Merveilleux qu'elle a cultivés avec difficulté, elle a récolté plus de 3 kg qui lui serviront à la seconde récolte, celle censée servir à la production de sake proprement dit. Mais comment réussira-t-elle à tenir cette récolte, contre les tempêtes qui brisent les épis, les nuisibles qui les dévorent, le travail qui l'épuise ? Ses tentatives pour rallier des producteurs à sa cause d'une agriculture bio trouvent certes quelques échos positifs, mais elle se heurte trop souvent au scepticisme des tenants d'une tradition définitivement masculine. Enfin, Natsuko prend la mesure de la réalité économique de ses choix. |
| | Natsuko no sake T.2Avec conviction et acharnement, et malgré son peu d'expérience, Natsuko poursuit sa quête : la culture du riz Tatsu-Nishiki (Dragon Merveilleux).
Elle découvre ainsi la difficile vie des agriculteurs, le paradoxe des questions de rentabilité, mais aussi la misère affective à laquelle leur métier les condamne parfois. De plus, sa volonté de ne travailler qu'en agriculture bio se heurte à la réalité des autres riziculteurs qui, pour survivre, ont besoin de pesticides et d'engrais.
Alors qu'elle essaye de les convaincre de fonder une association pour la riziculture bio, un épandage inattendu de pesticides vient semer la panique : non seulement le riz de Natsuko risque d'être touché, mais les enfants de l'école du village également |
| | Natsuko no sake T.1Natsuko Saeki réussira-t-elle a brasser le meilleur saké du monde, issu d'un riz unique, réputé impossible à cultiver ?
Natsuko Saeki est une employée de bureau à Tokyo, mais elle ne s'épanouit pas dans son travail. Ses supérieurs ne voient en elle qu'une subalterne juste bonne à faire des photocopies et servir du café.
Mais un jour son frère tombe malade et l'opportunité s'offre à elle de rentrer auprès de sa famille pour l'aider. Or Natsuko est issue d'une famille de modestes brasseurs de saké, et tente depuis des années de brasser un saké particulièrement savoureux et unique. Motivée par ce défi familial, Natsuko, remplaçant son frère, va se plonger corps et âme dans le travail du saké et tenter de se faire une place dans un milieu très traditionnel et dominé par les hommes. Réussira-t-elle à brasser le meilleur saké du monde, issu d'un riz unique, réputé impossible à cultiver ? |
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